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Le Festival d'été de Québec (FEQ) a fait office de premier test du nouveau service de vérification. Installée derrière la scène du parc de la Francophonie, à l'extérieur des sites officiels (à la demande du FEQ), l'unité pouvait accueillir toute personne désireuse de savoir si sa drogue était contaminée avant de la consommer.
Le directeur de la santé publique de la Capitale-Nationale donne son feu vert à la Coopérative de solidarité SABSA pour analyser les drogues dans les festivals cet été.
Les données sont percutantes : en 2023, plus de 280 municipalités italiennes ont adopté le Règlement pour l’administration partagée des biens communs. Et cela n’est que la pointe de l’iceberg. Dans le pays de Dante, on relève que près de 7000 pactes de coopération sont en cours.
Le député solidaire Étienne Grandmont a souligné le travail accompli par l'organisme depuis deux ans.
À l'heure où la qualité des drogues en circulation crée de l'inquiétude, la santé publique veut protéger les consommateurs « récréatifs » contre les surdoses.
Tant pour notre santé qu’en ce qui concerne le coût pour le système de santé, l’hépatite C est l’une des infections virales au pire fardeau qui sévissent au pays.
Un an après l'ouverture du premier service de consommation supervisée à Québec, la fréquentation est « nettement supérieure » à ce qui était prévu.
Plusieurs projets locaux pourraient inspirer Québec pour son plan de « refondation » en santé, comme la Coopérative de solidarité SABSA, une clinique qui fonctionne essentiellement avec des infirmières et des travailleurs sociaux et qui remporte un franc succès.
La clinique SABSA s’est dotée d’une unité mobile pour étendre ses interventions à l’ensemble de la Capitale-Nationale, de Portneuf à Charlevoix.
La campagne de financement de la Fondation SABSA a permis d’amasser 257 000$, soit plus du double de l’objectif qui était fixé à 120 000$.
Après avoir vécu l’incertitude en 2016, la clinique de santé SABSA de Québec, qui fête son 10e anniversaire, a démontré au fil des ans que son modèle était efficace et qu’il avait sa place dans le système de santé.
Le projet d’implantation de services de consommation supervisée pour les personnes utilisatrices de drogues par injection et par inhalation dans les présents locaux de la clinique SABSA va bon train.
Malgré les inquiétudes manifestées par des propriétaires d'immeubles de la rue Saint-Vallier Est, le CIUSSS de la Capitale-Nationale et la coopérative SABSA n'en démordent pas : les services de consommation supervisée (SCS) verront le jour à Québec au nom de la dignité et de la santé publique.
Les utilisateurs de drogues par injection ou inhalation pourront se rendre aux locaux actuels de la clinique SABSA, dans le quartier Saint-Roch.
Le centre d’injection supervisé attendu depuis plusieurs années à Québec aura finalement pignon sur rue à la limite des quartiers Saint-Roch et Saint-Sauveur, dans les locaux actuels de la clinique SABSA.
C’est maintenant officiel, le premier service de consommation supervisée ouvrira ses portes à Québec, en février 2021. Les personnes utilisatrices de drogues par injection et par inhalation pourront se rendre dans les locaux actuels de la clinique SABSA, rue Saint-Vallier Est, dans le quartier Saint-Roch, pour en bénéficier.
[...] sur une période de 50 ans, de réforme en réforme, la participation citoyenne dans la gouvernance des établissements du réseau est simplement laminée, notamment par des pratiques d’uniformisation et de standardisation.
La coopérative de solidarité SABSA a été retenue pour gérer le tout premier service de consommation supervisée de Québec, a appris Radio-Canada.
La coopérative de solidarité SABSA déploie une clinique mobile de santé pour prévenir et répondre aux surdoses dans la région de la Capitale-Nationale.
La Fondation SABSA, qui soutient la Clinique SABSA offrant des services de soins de santé à une clientèle vulnérable, vient de recevoir un don substantiel de 200 000 $ de la part d’une donatrice qui désire garder l’anonymat.
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